J’ai passé le permis moto !

Hello !

Si vous me suivez sur insta vous savez déjà que j’ai obtenu mon permis moto et je vous en avais également parlé ici. Apparemment, ça intéresse pas mal de monde d’avoir mon retour, donc je me suis dit que j’allais vous écrire un article sur le permis moto et mon expérience personnelle. 

Avant tout, il faut savoir que ce n’était pas une lubie comme ça, comme on a pu me le dire sur insta parce que je n’ai pas le « physique à faire de la moto ». Bon, déjà, je ne savais pas qu’il y avait un physique à avoir, mais surtout je suis issue d’une famille de motards et je suis passagère depuis ma plus tendre enfance, j’adore ça. Il y a six ans, lorsque j’ai eu mon permis B, je voulais également passer le permis A2, mais le temps, l’argent, la vie a fait que ce n’était pas le moment. 

Evidemment, quand je me suis réveillée quelques années plus tard et qu’il fallait repasser le code, j’ai vachement moins ri et je me suis dit que j’aurais dû me mettre un coup de pied au cul un peu avant qu’il n’expire. Peu importe, rien ne m’arrête, je suis prête. A Bali, j’ai appris le scooter et je me suis sentie vivante, même si j’ai vraiment flippé parfois parce que là-bas, le code de la route n’existe pas. 

PASSER SON PERMIS

Je me suis d’abord renseignée sur Paris mais c’était clairement hors de prix (environ deux fois plus cher qu’au Mans, pour des cours à trois ou quatre élèves alors que je suis en leçon individuelle en Sarthe…), donc j’ai décidé d’appeler l’auto-école où mon frère et ma soeur ont passé tous leurs permis deux-roues. 

Avant tout, j’ai commencé par une heure d’évaluation, histoire de voir comment je me sentais au volant de la moto, si je n’avais pas peur, si je me sentais capable de partir directement sur le permis A2 ou si je voulais commencer avec le A (permis 125). Finalement, au bout des soixante minutes, je savais que je voulais conduire une vraie moto et que j’allais m’ennuyer avec une 125. 

Là commence la création du dossier, l’attente (un peu trop longue) pour l’acceptation en préfecture et l’inscription au code. Clairement une horreur ce truc. Il y a sept ans et demi, quand je l’ai passé, non seulement il était plus simple, mais surtout c’était plus facile pour moi, alors que j’étais en première, d’apprendre puisque j’apprenais déjà en cours et que c’était presque naturel à ce moment-là. 

Je vous avoue qu’à 24 ans, c’est une claque de devoir ré-apprendre tout ça, se plonger dans les bouquins, réviser et s’entrainer. En réalité, ça m’a mis un coup au moral, parce que j’ai trouvé ça beaucoup plus difficile et j’ai eu besoin de bien plus de temps. Finalement, je l’ai passé une première fois, loupé avec seulement 34/40, j’ai déprimé un bon coup et je me suis mise une claque pour le repasser moins d’une semaine plus tard. J’ai peu dormi entre temps, plus révisé en trois jours que je ne l’avais fait il y a sept ans, mais je l’ai finalement validé avec 36/40. Toujours pas un exploit ni une fierté puisque j’avais eu 39/40 il y a sept ans, mais au moins c’est fait ! Un soulagement. 

Entre temps, j’avais la pression parce que j’avais déjà fait seize heures de conduite et qu’il était grand temps que je passe mon plateau, sauf que je devais attendre d’avoir obtenu le code. Donc une fois que cette première étape était passée, je suis entrée dans une deuxième phase de stress : celle du « Je ne vais jamais faire moins de 20 secondes sur le lent » et du « Je ne serai jamais à 50km à l’entrée de l’évitement ». 

Si vous n’avez jamais passé votre permis moto, vous n’avez aucune idée de ce que je vous raconte, mais les autres me comprennent. Le permis est divisé en deux épreuves : le plateau et la circulation. Le plateau est lui-même divisé en cinq épreuves : le lent, l’évitement, le freinage d’urgence, sans l’aide du moteur et les fiches à apprendre par coeur. La circulation, c’est l’équivalent de ce qu’on fait lors du permis voiture. 

Evidemment, le plus difficile est le plateau. Ayant déjà mon permis, la circulation ne me faisait pas vraiment peur. Le plateau par contre… A mes yeux c’était vraiment l’épreuve la plus difficile, déjà parce qu’elle est beaucoup plus physique, mais aussi parce qu’elle demande une concentration énorme et est difficilement gérable avec le stress. 

[ctt template= »3″ link= »l3J3B » via= »yes » ]Passer son permis moto : les étapes de A à Z ! [/ctt]

MES CONSEILS

Alors à tous ceux qui devraient passer leur permis un jour, sachez que ce n’est pas grave de louper le plateau une première fois, ni même une deuxième si ça devait arriver. En réalité, le pourcentage de personnes qui l’ont du premier coup est plus faible que ceux qui y arrivent à la deuxième chance. 

Faites le choix d’apprendre avec un moniteur passionné de moto. Contrairement au permis voiture, on ne passe pas son permis moto par besoin mais par passion, votre enseignant doit avoir la même passion pour vous la transmettre correctement. Si vous êtes du Mans, je vous conseille mille fois l’auto-école Bollée 99 et le moniteur Franck. 

Ensuite, même lorsque vous vous dites que ça ne passera pas et que vous allez tomber, faites confiance au moniteur. Si comme moi vous êtes minuscule et un poids plume, vous avez beau avoir une moto rabaissée, elle fait toujours plus de quatre fois votre poids, ça peut faire peur, mais lui il la connait par coeur et fera en sorte que vous appreniez sans vous faire peur. 

Evidemment, vous allez tomber pendant l’apprentissage. Enfin non, certains ne tombent pas, bien sûr, mais la plupart si. Et ce n’est pas grave. La moto-école est équipée de barres qui permettent de la retenir afin qu’elle ne vous écrase pas, dites-vous bien que si elles sont là, c’est que vous n’êtes ni le premier, ni le dernier à la faire tomber. Sur le lent, la moto est très lourde et un virage mal négocier peut vite finir par terre. Ce qui compte, c’est de ne pas vous blesser ni vous faire peur, de remonter rapidement et d’avoir encore plus envie d’y arriver. 

Si je peux vous donner un autre conseil, même s’il fait assez chaud, prévoyez plusieurs couches à mettre les unes sur les autres, évitez le gros pull que vous enlèverez sans n’avoir plus rien en dessous. En circulation, à 110 ou 130km/h, il fait FROID. Sur le plateau à moins de 5km/h, en plein soleil, avec le stress, il fait CHAUD. Prévoyez, vous me remercierez. 

LE PASSAGE DU PLATEAU

Alors voilà, on est le 6 novembre, c’est le grand jour. J’ai révisé mes douze fiches, j’ai galère pour les apprendre, j’ai répété un million de fois dans ma tête les parcours de chaque épreuve comme si je pouvais les oublier… Le réveil a sonné super tôt ce matin, j’étais tellement stressée… J’ai sauté dans mon jean, pris mes affaires et je suis partie. Au final, à 7h30 j’étais devant l’auto-école, pour un rendez-vous à 8h.

Mon moniteur m’a emmenée sur un parking pour m’entraîner une dernière fois, j’y arrivais pas, j’étais trop stressée, rien n’allait ! J’avais l’impression d’avoir tout oublié, je savais même plus conduire une moto, c’était atroce.. À 9h30 on arrive sur le lieu d’examen, on était les premiers.. L’examinateur n’arrive qu’à 10h au final.. Le stress est là, l’envie de vomir, de pleurer, de partir en courant…

On commence enfin, donc l’examinateur vérifie l’équipement, jusque là, ça va, mon casque et ms gants sont aux normes, j’ai mon permis sur moi, parfait ! C’est l’heure, début de l’épreuve. Je fais la première partie : sans le moteur, il faut pousser la moto dans un parcours, à coté en marchant et sans le moteur, en marche avant et en marche arrière.. J’y arrivais pas, heureusement j’avais le droit de manoeuvrer mais je faisais n’importe quoi alors que j’y arrive mais j’étais tellement stressée, je tremblais trop… La moto était mille fois plus lourde avec le stress, mes bras étaient en chiffon, j’ai cru qu’elle allait tomber, ce qui aurait valu une fin d’épreuve. Ensuite, les vérifications, j’ai fait une erreur toute bête du coup j’ai eu B. Allez ça commence bien ! Là où je me suis vraiment sentie mal, c’est quand il m’a dit où je m’étais trompée, en fait j’ai juste oublié de montrer comment faire, je l’ai seulement dit. L’imbécile paralysée par le stress, bravo !

Là je ne sais pas pourquoi, la pression monte encore d’un cran et je craque. Je pleure, une vraie fontaine, j’arrive même plus à respirer, je suis trop stressée. L’examinateur me prend à part, il me parle calmement, il me dit que je suis capable d’y arriver, que si je suis là c’est que je sais faire et que je dois juste lui montrer que j’en suis capable. Je prends une grande respiration et je lui dis que je vais y arriver. Hors de question que je me laisse abattre, je sais que je peux le faire, je vais le faire !

Deuxième épreuve, le lent. C’est le plus dur, donc je me concentre vraiment, j’y arrive bien, je tiens 23 secondes (il faut être au-dessus de 20), mais là au moment où je dois prendre le passager derrière moi, je panique alors que je sais le faire, je fais tomber un plot. Donc ça fait B aussi. J’ai le droit à un deuxième essai, on garde que la meilleure note, sauf si je fais une chute c’est éliminatoire. Du coup je tente, mais là je fais n’importe quoi, je suis allée trop vite (19 secondes), puis j’ai posé un pied dans le demi-tour parce que j’allais trop lentement donc deux fautes, ça fait C (c’est éliminatoire) mais heureusement on garde mon premier essai, donc B.

Là j’ai fait deux épreuves, j’ai deux B, il me faut au moins deux A pour valider, je commence à paniquer… C’est parti pour la troisième : le freinage d’urgence. Je m’élance, je gère bien mon demi-tour, je suis à 50 km/h à la ligne, le freinage est nickel, parfait : A. Ouf, soulagement, plus qu’un A et je l’ai presque à coup sûr ! Je reprends confiance en moi, je respire un rand coup et je repars. 

Quatrième épreuve : l’évitement. Je commence mon slalom, je vais pas assez vite à la ligne, je pose deux pieds dans le demi-tour, je sors de la ligne, ensuite je sais que c’est mort donc je n’arrive même pas à 50 à l’entrée de l’évitement.. Bref, quatre fautes, c’est C direct ! Tant pis, je recommence, je prends une grande inspiration et je me dis que j’ai intérêt d’y arriver parce que je sais le faire ! C’est parti, à fond, la vitesse est bonne, le demi-tour est nickel, je suis à 51 km/h à l’entrée de l’évitement, je ne touche aucun plot, je m’arrête dans la bonne zone, c’est un A ! Quel soulagement.

Là, je sais que si j’ai A ou B à la prochaine épreuve, c’est bon. Sauf que si j’ai C, c’est foutu. C’est les fiches, je les ai bien apprises, il y en a quelques unes que je connais mieux que d’autres, mais dans l’ensemble je devrais y arriver. J’en tire une au sort, je récite presque tout. Je sais qu’il me manque un truc mais impossible de m’en rappeler, il me pose une question et ça y est, je lui ressors tout. “C’est un A, mademoiselle, félicitations, vous venez de valider le plateau.”

Ça y est. Je me suis effondrée, toute la pression est redescendue, je suis soulagée et mon corps se relâche, je pleure encore un bon coup, mais avec un grand sourire cette fois. C’est bon, j’ai validé mon plateau. Un sentiment de fierté m’envahit, j’avais bien besoin de ça, après ce mois d’octobre très compliqué, juste avant mon anniversaire, comme un cadeau que je me fais à moi-même.. 

Plus que l’épreuve de la circulation, ce sera bon, à moi les routes ! Bon évidemment, on ne peut pas avoir de la chance partout, un examinateur tombe malade et repousse tous les passages de plus de quinze jours, c’est quasiment impossible d’avoir une date, donc il va falloir attendre encore un peu !

LA CIRCULATION

Finalement, un jour mon moniteur m’a appelée pour me demander si j’étais prête pour le passer deux jours plus tard, et bim, le 21 novembre, j’avais rendez-vous à 9h30 pour passer mon permis. J’ai enfilé douze couches de vêtements, il faisait -4°, ce qui est déjà très dur à supporter à pied, mais imaginez sur une moto à 80 ou 110 km/h !

L’épreuve a duré à peu près 15 min je pense, dans l’ensemble ça s’est bien passé, mais j’ai fait deux erreurs. C’est pas des grosses erreurs en soit mais après coup, je m’en voulais tellement (l’une des erreurs était due au stress et l’autre au froid) et plus le temps passait, plus je pensais l’avoir loupé. Finalement, ce qui compte c’est surtout de toujours faire ses contrôles avant de tourner ou changer de voie, de bien mettre ses clignotants et de respecter les limitations de vitesse ainsi que les priorités.

Je suis sortie de là, j’avais chaud (je rappelle qu’il faisait -4°C) tant j’avais stressé, mais c’était fait. Contrairement au plateau, on n’a pas la réponse tout de suite. Je suis rentrée chez moi et j’ai attendu deux jours, deux longs jours pour connaître le résultat : J’AI EU MON PERMIS ! C’est mon moniteur qui l’a reçu d’abord, le vendredi matin, puis il a été annoncé sur internet le samedi matin. Verdict : 23 points, finalement mes deux erreurs n’ont pas été trop mal notées.

LA PREMIÈRE SORTIE

J’ai enfilé de nouveau une tenue bien chaude, ma veste, mon pantalon de pluie, mes bottes de moto, mes gants, mon casque, j’ai essayé ma moto pour la première fois. Il pleuvait et je n’avais jamais roulé dans ces conditions, c’était une nouvelle moto et la position de conduite n’avait rien à voir, c’était plutôt bizarre. Mais j’ai adoré, je me suis sentie libre, j’ai roulé doucement lorsque j’avais besoin d’être rassurée, je me suis fait plaisir sur les lignes droites (en respectant le code de la route, évidemment), je me suis sentie vivante.

C’était la même sensation qu’au grand galop sur un cheval, cette sensation de liberté, on se sent plus fort que tout, plus léger que le vent, c’est magique. J’étais trempée, les gouttelettes de pluie faisaient un effet de loupe sur la visière de mon casque et ça me demandait beaucoup de concentration, les gilets jaunes m’ont fait réviser le plateau en slalomant entre les pneus à chaque rond-point, mais c’était magique.

Je vais m’arrêter ici, cet article est certainement le plus long de mon blog, mais j’avais des choses à vous dire. J’espère que ça vous aura rappelé des souvenirs, pour les motards, ou donné envie, pour les futurs. J’ai hâte que vous me racontiez votre expérience en commentaire !

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merci d’avoir lu tout ça, tu es vraiment extraordinaire !

8 Commentaires

  1. Sushi-Co
    8 décembre 2018 / 17 h 37 min

    Cette fois c’est sûr, je veux ce satané permis moto ! Je suis pas mécontente de t’avoir demandé cet article, je sais déjà que je vais stresser comme jamais pour le plateau ! Merci pour toutes ces infos ! J’ai vu dans les précédents commentaires qu’il était intéressant de savoir sur quelle moto tu avais passé ton permis, laquelle tu avais aujourd’hui, mais du coup, y a-t-il une moto « préférable » pour passer son permis ? Je veux dire, est-ce que la moto sur laquelle tu passes ton permis peut influencer ta réussite ?

    • enabla
      Auteur / autrice
      8 décembre 2018 / 19 h 01 min

      Génial, je suis contente que cet article ait pu te plaire et même te motiver encore plus ! Je ne pense pas que la moto change grand chose, en général, il y a toujours plus ou moins les mêmes motos dans les écoles de conduite. Comme tu apprends directement sur celle-ci, tu sais finalement tout faire dessus et c’est plus quand tu arrives sur une autre (la tienne) quand tu as ton permis que ça change un peu, mais rien de fou. Courage !

  2. Pauliine
    1 décembre 2018 / 12 h 45 min

    Très bon articles ! Mais en tant que Motard je trouve qu’il manque « des infos » comme la marques de la moto sur laquelle tu a passer ton permis, yavait til abs ou non ?! Quelle est ta moto aujourd’hui ? A tu mis des équipements dessus ? ( ligne, changement rétro/support de plaque/etc..)
    Mais sinon j’adore que tu est décrit les sentiments que tu as eu et tout !!
    Un autre articles quand tu aura plus d’expériences ?! Le regards sur les autres automobiles ? Etc ..?!

    • enabla
      Auteur / autrice
      1 décembre 2018 / 12 h 49 min

      Merci !
      Je trouve que ces infos n’avaient rien à voir avec le permis en lui-même 🙂 Mais si ça t’intéresse, j’ai passé le permis sur une Kawa ER6 et j’ai maintenant une Honda CB500 (rabaissée du coup, parce que je suis minuscule). Il y a l’ABS sur les deux (aujourd’hui, il reste peu de moto-écoles qui ne l’ont pas).
      Bisous

  3. nicolas
    30 novembre 2018 / 21 h 49 min

    hello, merci pour ton retour. ça fait un moment que je me tatais à passer le permis aussi, et j’avoue que l’automne et l’hiver ne me motivait pas trop ^^. AU printemps il y a peut être moyen que je m’y mette aussi 🙂

    • enabla
      Auteur / autrice
      1 décembre 2018 / 12 h 38 min

      Ah super ! Je te confirme, c’est mieux au printemps haha ! Je voulais commencer l’été mais ça n’a pas pu être fait, j’ai commencé en septembre, mais finalement j’avais peu de temps, ça a duré un peu, deux mois plus tard, il faisait bien trop froid haha ! Commence en avril, c’est mon meilleur conseil ! Bisous

  4. LadyBird
    29 novembre 2018 / 11 h 27 min

    Hello, j’ai adoré cet article !! Je ne fais pas du tout de moto (je galère déjà à passer le permis B.. donc bon!) Mais ça m’a vraiment donné une petite idée des sensations qu’on peut avoir ! J’etais même stressée en même temps que toi pendant que tu racontais ton épreuve haha!
    Et je comprends mieux les termes qu’on peut voir un peu partout (le plateau tout ça tout ça.) Par contre du coup petite question, pour le lent, c’est bien plus de 20 secondes qu’il faut faire c’est ça ? (A un endroit tu as écrit moins et après plus donc j’ai buggé haha)
    Et si j’ai bien compris ça te donne une sensation de liberté et de bien être… Un projet de tatouage en rapport un jour peut être ?? ?
    Bisous et super article en tout cas !

    • enabla
      Auteur / autrice
      29 novembre 2018 / 12 h 50 min

      Merci ma biche ! Oui, c’est bien plus de 20 sec pour obtenir un A (entre 17 et 20 sec on obtient B) 🙂 Bisous

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